Le Contexte :
Aujourd'hui un morceau d'un grand artiste anglais David Bowie. Nous sommes en 1972 quand sort son excellent cinquième album "The rise and Fall of Ziggy Stardust and the spiders from Mars". Ziggy Stardust est un personnage imaginé par Bowie qu'il incarnera en tournée et sur son album suivant : "Alladin Sane" en 1973. Bref, revenons à Ziggy et au "Suffragette City" qui nous intéresse aujourd'hui.
Le Morceau :
Le morceau est typique du style Glam Rock que Bowie va contribuer à lancer avec T-Rex par exemple. L'orchestration en est volontairement très rock voire un peu Rock-parodique. A signaler la contribution capitale du guitariste Mick Ronson qui fera de nombreux arrangements sur l'album et qui signe un morceau de guitare bien péchu. Nous sommes loin des chansons hippies qui ne sont sorti que cinq ans auparavant. Indéniablement, la richesse musicale de cette époque était hors norme (surtout à ne pas comparer avec 2007...).
L'Artiste :
David Bowie fait partie des ces artistes qui "profiteront" de la séparation des Beatles. Le groupe étant tout à la fois la matrice et l'ombre de la musique Pop anglaise de 1965 à 1970. A ses débuts, Bowie est clairement un artiste Glam Rock. Il porte sur scène des paillettes, talons aiguilles et joue volontairement sur une certaine ambivalence sexuelle. Il sort de 1977 à 1979 avec l'aide de Brian Eno (ancien membre de Roxy Music puis producteur notamment pour U2) les trois albums "Low", "Heroes" et "Lodger" qui constituent la trilogie Berlinoise. Ces albums sont assez difficile d'accès mais valent franchement le détour. Plus tard, Bowie devient plus commercial en sortant "Let's Dance" et connaît un succès commercial dans le monde. Aujourd'hui, David Bowie est une sorte de survivant qui a connu de nombreux succès mais aussi des ratages tragiques. Artiste passionnant, dont l'intégrité artistique est incontestable.
L'Anecdote :
Quel meilleur morceau que celui-ci pour clôturer notre cycle sur la musique pop et folk de ces glorieuses années 67-73. En effet, quand Ziggy Stardust apparaît "The dream is over" (dixit John Lennon en 1970), les utopies des années 60 sont finies et une chanson ne pouvant changer le monde, Bowie situe son personnage sur le plan de l'outrance et du fantasme. Bowie fermera violemment la page avec Ziggy Stardust en 1973 en annonçant la mort symbolique de sa créature à l'Hammersmith Odeon de Londres. Les fans en resteront stupéfaits. Etonnant, Non ?
Le Morceau :
Le morceau est typique du style Glam Rock que Bowie va contribuer à lancer avec T-Rex par exemple. L'orchestration en est volontairement très rock voire un peu Rock-parodique. A signaler la contribution capitale du guitariste Mick Ronson qui fera de nombreux arrangements sur l'album et qui signe un morceau de guitare bien péchu. Nous sommes loin des chansons hippies qui ne sont sorti que cinq ans auparavant. Indéniablement, la richesse musicale de cette époque était hors norme (surtout à ne pas comparer avec 2007...).
L'Artiste :
David Bowie fait partie des ces artistes qui "profiteront" de la séparation des Beatles. Le groupe étant tout à la fois la matrice et l'ombre de la musique Pop anglaise de 1965 à 1970. A ses débuts, Bowie est clairement un artiste Glam Rock. Il porte sur scène des paillettes, talons aiguilles et joue volontairement sur une certaine ambivalence sexuelle. Il sort de 1977 à 1979 avec l'aide de Brian Eno (ancien membre de Roxy Music puis producteur notamment pour U2) les trois albums "Low", "Heroes" et "Lodger" qui constituent la trilogie Berlinoise. Ces albums sont assez difficile d'accès mais valent franchement le détour. Plus tard, Bowie devient plus commercial en sortant "Let's Dance" et connaît un succès commercial dans le monde. Aujourd'hui, David Bowie est une sorte de survivant qui a connu de nombreux succès mais aussi des ratages tragiques. Artiste passionnant, dont l'intégrité artistique est incontestable.
L'Anecdote :
Quel meilleur morceau que celui-ci pour clôturer notre cycle sur la musique pop et folk de ces glorieuses années 67-73. En effet, quand Ziggy Stardust apparaît "The dream is over" (dixit John Lennon en 1970), les utopies des années 60 sont finies et une chanson ne pouvant changer le monde, Bowie situe son personnage sur le plan de l'outrance et du fantasme. Bowie fermera violemment la page avec Ziggy Stardust en 1973 en annonçant la mort symbolique de sa créature à l'Hammersmith Odeon de Londres. Les fans en resteront stupéfaits. Etonnant, Non ?
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