La chanson du jour : Sam Cooke - Wonderful World
Le contexte :
Aujourd'hui un titre de 1960 du pionnier Sam Cooke. Un fondateur du genre qui débute par le gospel pour glisser vers la soul. A l'instar de Ray Charles, il va jeter, durant sa courte carrière, les bases du genre. Et décrocher de nombreux succès notamment en 1960 avec ce "Wonderful World" qui nous intéresse aujourd'hui.
Le morceau :
Le titre est un des sommets de la carrière de Sam Cooke. Le morceau est une déclaration d'amour : "Je ne sais pas grand chose de l'histoire, mais je sais que si tu m'aimes et que je t'aime, quel monde merveilleux ce sera". Un peu naif mais bougrement efficace. Ceci grâce à la voix de Sam Cooke qui allie la puissance à la délicatesse et la finesse. A coup sûr, notre homme aurait pu donner des frissons en chantant le bottin ! Le titre fera l'objet de plusieurs reprises dont les plus notables sont celles d'Art Garfunkel et de Hermann's Hermits.
L'artiste :
Sam Cooke est une des première grande star noir-américaine de l'histoire. Son début de carrière se heurte à la segmentation de la société américaine. Qui rappelons le dans les années 50 n'avait rien à envier à l'apartheid sud-africaine. En effet, Sam Cooke réussira à briser les lignes entre la musique pop ou country des blancs et le Blues, le Jazz ou la Soul naissante faite pour le public noir. Dans sa carrière, on peut citer : "Summertime", " You Send me" ou encore "A change is gonna come". Sans conteste, Sam Cooke aura exercé un influence profonde sur des artistes comme Aretha Franklin, Otis Redding ou les Temptations.
L'anecdote :
Sam Cooke est mystèrieusement retrouvé mort le 11 décembre 1964 dans un motel californien. L'enquête des autorités, impliquant la propriétaire de l'établissement et une prostituée, a officiellement abouti à la conclusion d'un meurtre excusé par la légitime défense. Le chanteur, furieux de la disparition de sa compagne d'un soir, aurait effrayé et violenté la responsable du motel à un point qu'elle fut excusée d'avoir usé de son arme à feu pour se protéger. Dramatique, non ?
Aujourd'hui un titre de 1960 du pionnier Sam Cooke. Un fondateur du genre qui débute par le gospel pour glisser vers la soul. A l'instar de Ray Charles, il va jeter, durant sa courte carrière, les bases du genre. Et décrocher de nombreux succès notamment en 1960 avec ce "Wonderful World" qui nous intéresse aujourd'hui.
Le morceau :
Le titre est un des sommets de la carrière de Sam Cooke. Le morceau est une déclaration d'amour : "Je ne sais pas grand chose de l'histoire, mais je sais que si tu m'aimes et que je t'aime, quel monde merveilleux ce sera". Un peu naif mais bougrement efficace. Ceci grâce à la voix de Sam Cooke qui allie la puissance à la délicatesse et la finesse. A coup sûr, notre homme aurait pu donner des frissons en chantant le bottin ! Le titre fera l'objet de plusieurs reprises dont les plus notables sont celles d'Art Garfunkel et de Hermann's Hermits.
L'artiste :
Sam Cooke est une des première grande star noir-américaine de l'histoire. Son début de carrière se heurte à la segmentation de la société américaine. Qui rappelons le dans les années 50 n'avait rien à envier à l'apartheid sud-africaine. En effet, Sam Cooke réussira à briser les lignes entre la musique pop ou country des blancs et le Blues, le Jazz ou la Soul naissante faite pour le public noir. Dans sa carrière, on peut citer : "Summertime", " You Send me" ou encore "A change is gonna come". Sans conteste, Sam Cooke aura exercé un influence profonde sur des artistes comme Aretha Franklin, Otis Redding ou les Temptations.
L'anecdote :
Sam Cooke est mystèrieusement retrouvé mort le 11 décembre 1964 dans un motel californien. L'enquête des autorités, impliquant la propriétaire de l'établissement et une prostituée, a officiellement abouti à la conclusion d'un meurtre excusé par la légitime défense. Le chanteur, furieux de la disparition de sa compagne d'un soir, aurait effrayé et violenté la responsable du motel à un point qu'elle fut excusée d'avoir usé de son arme à feu pour se protéger. Dramatique, non ?
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