mercredi 26 mars 2008
La chanson du jour - 46 -
La capsule du jour : Chris Spedding - Guitar Jamboree.
Le Contexte :
Aujourd'hui un morceau du guitariste Chris Spedding. C'est en 1975 qu'il fait paraître en single son album "Chris Spedding" sur lequel figure l'excellent Guitar Jamboree qui nous intéresse aujourd'hui.
Le morceau :
Le titre parait en 1976 en single. C'est une sorte de Rockcollection anglais. Sur ce morceau Chris Spedding évoque les guitar heroes qu'il a aimé et rejoue des solos "à la manière de". Un vrai moment de bonheur entraînant et drôle qui inaugure notre nouveau thème "Rions en chansons". Thème dont l'originalité n'a d'égale que la pertinence à l'heure où le nouveau sport olympique est le casse-tête de bonze avec crosse de fusil.
L'artiste :
Notre homme est un musicien de studio qui a joué avec Mc Cartney, Roxy Music, John Cale, Brian Eno, Michel Berger, Michel Delpech, Véronique Samson ou même un certain Johnny. Il continue à 50 ans passés de participer à des enregistrements en tant que guitariste.
L'anecdote :
Chris Spedding participa de façon très active à l'enregistrement du premier album "Nevermind the Bollocks" des Sex Pistols. Il est sans doute à l'origine du son très clean de la galette qui contraste avec le son crado qu'il avaient en public. Ceci leur fut reproché d'ailleurs ! Etonnant non ?
samedi 22 mars 2008
Le sergent poivre et ses cousins 2
Comme j'ai trouvé d'autres pochettes inspirés de Sgt Pepper. Voici pour commencer un mix des pochettes de Sgt Pepper et du Pet Sounds des Beach Boys des BEACHLES !!! Ce qui est assez logique vu l'admiration qu'avait Brian Wilson pour les 4 de Liverpool :
Continuons avec une pochette "alternative" de Sgt Pepper :
Voici une pochette du 45 tours "With a little help for my friends" qui est bien dans l'esprit :
Celle là je ne sais pas d'où elle vient :
Celles ci non plus :
Continuons avec une pochette "alternative" de Sgt Pepper :
Voici une pochette du 45 tours "With a little help for my friends" qui est bien dans l'esprit :
Celle là je ne sais pas d'où elle vient :
Celles ci non plus :
Le chanson du jour - 44 -
La capsule du jour : Louis Amstrong - Go down Moses.
Ce titre est un traditionnel du folklore américain qui est extrait de l'album The Good Book de 1957 qui comporte des titres en rapport avec la bible tels que "When the saints go marching in". Le titre sera repris par Claude Nougaro avec un nouveau texte sous le titre "Armstrong".
L'artiste :
Inventeur du Jazz chanté. Il a marqué profondément cette musique qu'il a largement contribué à faire évoluer. On peut pointer dans sa carrière "What a wonderful world", "Hello Dolly", "Dream a little dream of me", "C'est si bon !". Notre homme avait un jeu qui laissait une grande place à l'improvisation. Il était de plus doté d'une voix grave et profonde à fendre des cloches en provenance de Rome pour le week end pascal.
L'anecdote :
Miles Davis qui n'était pas un manchot avec son instrument, (sic) disait de lui "Dés qu'on souffle dans une trompette, on sait que l'on ne pourra rien sortir que Louis n'ai déjà fait". Etonnant, non ?
Le Contexte :
Aujourd'hui un morceau de 1957 du chanteur et trompettiste de Jazz le phénoménal Louis Armstrong. C'est le très bon "Go Down Moses" qui nous intéresse aujourd'hui.
Aujourd'hui un morceau de 1957 du chanteur et trompettiste de Jazz le phénoménal Louis Armstrong. C'est le très bon "Go Down Moses" qui nous intéresse aujourd'hui.
Le morceau :
Ce titre est un traditionnel du folklore américain qui est extrait de l'album The Good Book de 1957 qui comporte des titres en rapport avec la bible tels que "When the saints go marching in". Le titre sera repris par Claude Nougaro avec un nouveau texte sous le titre "Armstrong".
L'artiste :
Inventeur du Jazz chanté. Il a marqué profondément cette musique qu'il a largement contribué à faire évoluer. On peut pointer dans sa carrière "What a wonderful world", "Hello Dolly", "Dream a little dream of me", "C'est si bon !". Notre homme avait un jeu qui laissait une grande place à l'improvisation. Il était de plus doté d'une voix grave et profonde à fendre des cloches en provenance de Rome pour le week end pascal.
L'anecdote :
Miles Davis qui n'était pas un manchot avec son instrument, (sic) disait de lui "Dés qu'on souffle dans une trompette, on sait que l'on ne pourra rien sortir que Louis n'ai déjà fait". Etonnant, non ?
vendredi 21 mars 2008
Le sergent poivre et ses cousins
Il est des pochettes de disque comme celle du Sergent Poivre qui inspirent nos amis musiciens ! C'est le cas du légendaire album des Beatles sorti le 1er Juin 1967 Sergent Peppers Lonely Heart club Band pour mémoire voici la pochette originale :
Et une variante, trouva sur un disque pirate allemand :
L'année suivante en 1969, Frank Zappa et son groupe the Mothers of invention sortait l'album "We're only in it for the money" avec la pochette suivant :
Et une variante, trouva sur un disque pirate allemand :
Ensuite celle des Beadochons, groupe parodique, qui avait déjà commis les albums des Rolling Beadochons. Sur l'album "Paperback writer" devient "Plus de papier water" ! Voici en tout cas le résultat :
Maintenant celle du groupe parodique, là encore, The Rutles mené par des anciens Monthy Pythons, Le disque n'a jamais commercialisé ni enregistré d'ailleurs. Bidon de A à Z ! Le résultat est pourtant assez convaincant :
Poursuivons les réjouissances avec un disque "tribute" aux Fabs four "Tropical tribute to the Beatles". La musique doit valoir le détour :
Tant que nous sommes dans les musiques sur américaines, voici la pochette du disque Exotica :
Vous en voulez encore ? Deux pochettes de compilation de Punk, ce qui au passage est assez ironique quant on connait l'amour des punks pour les Beatles ... M'enfin ... Voici donc la compilation du groupe Moonlight Tapes en 1980 :
Et celle nommé Burning ambitions en 1982 :
Continuons avec une pochette du groups "Bouteilles" dont je ne sais pas grand chose mais qui fait la part belle à l'amour du vin (Le chateauneuf du pape) et à un anti-cléricalisme du plus bel effet ! Voyez plutot :
Finissons par deux images issues des SIMPSONS. Le "Yellow Album" d'abord :
Et une image à la composition sensiblement identique qui prouve bien la vivacité et la pertinence de la série à digérer et s'approprier les symboles de la culture populaire :
mardi 18 mars 2008
La chanson du jour - 43 -
La capsule du jour : The Jimmy Hendrix Experience - Little Wing.
Le Contexte :
Le Contexte :
Aujourd'hui un morceau de 1968 du Power Trio magique The Jimmy Hendrix Experience. Le trio se forme en 1967, il est composé de Jimmy Hendrix à la guitare, de Mitch Mitchell à la batterie et de Noel Redding à la basse. Il sortent en 1968 leur second album le lumineux "Axis : Bold as Love" sur lequel figure le magnifique "Little Wing" qui nous intéresse aujourd'hui.
Le morceau :
Ce titre est assez atypique dans la discographie du groupe puisque ce n'est pas un rock puissant qui mets en avant l'énergie brute à la limite de la sauvagerie que dégageait le groupe. Il s'agit plutôt d'un titre qui privilégie l'ambiance mystique et la finesse du jeu de guitare de Hendrix qui nous livre une des plus belle intro de l'histoire du rock.
L'artiste :
Le trio formé autour de Jimmy Hendrix fera paraître trois albums. "Are You experienced" en 1967, "Axis Bold as love" en 1968 et leur chef d'oeuvre "Electric Ladyland" en 1969. Hendrix suite a des divergences artistiques comme on dit ... se sépare du groupe et fonde le "Band of Gypsis" qui prends une tournure plus Jazz et expérimentale. Le 18 septembre 1970, Hendrix meurt d'une overdose.
L'anecdote :
Hendrix est une de grandes figures sacrifiés du rock. En tout et pour tout sa carrière aura duré trois ans. Il a laissé un héritage immense. Nul ne sait quel direction sa musique aurait pu prendre, il avait beaucoup de projet en tête ... Triste, non ?
Le morceau :
Ce titre est assez atypique dans la discographie du groupe puisque ce n'est pas un rock puissant qui mets en avant l'énergie brute à la limite de la sauvagerie que dégageait le groupe. Il s'agit plutôt d'un titre qui privilégie l'ambiance mystique et la finesse du jeu de guitare de Hendrix qui nous livre une des plus belle intro de l'histoire du rock.
L'artiste :
Le trio formé autour de Jimmy Hendrix fera paraître trois albums. "Are You experienced" en 1967, "Axis Bold as love" en 1968 et leur chef d'oeuvre "Electric Ladyland" en 1969. Hendrix suite a des divergences artistiques comme on dit ... se sépare du groupe et fonde le "Band of Gypsis" qui prends une tournure plus Jazz et expérimentale. Le 18 septembre 1970, Hendrix meurt d'une overdose.
L'anecdote :
Hendrix est une de grandes figures sacrifiés du rock. En tout et pour tout sa carrière aura duré trois ans. Il a laissé un héritage immense. Nul ne sait quel direction sa musique aurait pu prendre, il avait beaucoup de projet en tête ... Triste, non ?
La chanson du jour - 42 -
La capsule du jour : Curtis Mayfield - Move on up.
Le Contexte :
Aujourd'hui un morceau de 1970 du chanteur de Funk américain Curtis Mayfield. Il débute en tant que chanteur du groupe The Impressions en 1956. Il quitte le groupe et débute sa carrière en 1970 par la parution de son premier album "Curtis" dont est extrait le dansant "Move on up" qui nous intéresse aujourd'hui.
Le morceau :
Ce titre est comme nous l'avons dit est fait pour la danse, pour autant le texte incite la communauté noire à prendre son destin en main Ce morceau comme le "I'm Black I'm Proud" de James Brown s'inscrit dans le mouvement de lutte pour les droits civiques qui secouera l'Amérique à cette époque. La musique est quant à elle très influencé par les travaux des artistes Motown et de James Brown. Un pur moment de plaisir !
L'artiste :
Curtis Mayfield est très actif durant les années 70 et 80, il sera suivi par un public fidèle. L'apogée de sa carrière se situe en 1972 avec la parution de son troisième album "Superfly" qui marquera son époque et sera comparé à sa sortie au "What's Going On" de Marvin Gaye ou le "Innervisions" de Stevie Wonder ... Excusez du peu !!
L'anecdote :
La vie de Mayfield bascule durant un concert en 1990 quand un projecteur lui tombe dessus, Il restera paralysé, sera amputé d'une jambe en 1998 et décédera le 26 Décembre 1999. Dramatique, non ?
Le Contexte :
Aujourd'hui un morceau de 1970 du chanteur de Funk américain Curtis Mayfield. Il débute en tant que chanteur du groupe The Impressions en 1956. Il quitte le groupe et débute sa carrière en 1970 par la parution de son premier album "Curtis" dont est extrait le dansant "Move on up" qui nous intéresse aujourd'hui.
Le morceau :
Ce titre est comme nous l'avons dit est fait pour la danse, pour autant le texte incite la communauté noire à prendre son destin en main Ce morceau comme le "I'm Black I'm Proud" de James Brown s'inscrit dans le mouvement de lutte pour les droits civiques qui secouera l'Amérique à cette époque. La musique est quant à elle très influencé par les travaux des artistes Motown et de James Brown. Un pur moment de plaisir !
L'artiste :
Curtis Mayfield est très actif durant les années 70 et 80, il sera suivi par un public fidèle. L'apogée de sa carrière se situe en 1972 avec la parution de son troisième album "Superfly" qui marquera son époque et sera comparé à sa sortie au "What's Going On" de Marvin Gaye ou le "Innervisions" de Stevie Wonder ... Excusez du peu !!
L'anecdote :
La vie de Mayfield bascule durant un concert en 1990 quand un projecteur lui tombe dessus, Il restera paralysé, sera amputé d'une jambe en 1998 et décédera le 26 Décembre 1999. Dramatique, non ?
vendredi 14 mars 2008
La chanson du jour - 41 -
La capsule du jour : Aaron Neville - Tell it like it is.
Le Contexte :
Aujourd'hui un morceau de 1966 du chanteur soul Aaron Neville. Il débute sa carrière par ce fabuleux morceau "Tell it like it is" qui nous intéresse aujourd'hui.
Le morceau :
Le titre est le premier que notre homme sortira en 1966. Ce sera un succès monumental et le plus important de sa carrière. Le titre est langoureux à souhait juste comme il faut pour un soirée en tête à tête.
L'artiste :
Aaron Neville connaîtra son heure de gloire avec les Neville Brothers qui se forment en 1976 avec ses frères ... Comme son nom l'indique !
L'anecdote :
Aaron Neville a passé toute sa vie à la Nouvelle Orléans, en 2003 sa maison sera détruite par l'ouragan Katrina. Dramatique, non ?
Aujourd'hui un morceau de 1966 du chanteur soul Aaron Neville. Il débute sa carrière par ce fabuleux morceau "Tell it like it is" qui nous intéresse aujourd'hui.
Le morceau :
Le titre est le premier que notre homme sortira en 1966. Ce sera un succès monumental et le plus important de sa carrière. Le titre est langoureux à souhait juste comme il faut pour un soirée en tête à tête.
L'artiste :
Aaron Neville connaîtra son heure de gloire avec les Neville Brothers qui se forment en 1976 avec ses frères ... Comme son nom l'indique !
L'anecdote :
Aaron Neville a passé toute sa vie à la Nouvelle Orléans, en 2003 sa maison sera détruite par l'ouragan Katrina. Dramatique, non ?
jeudi 13 mars 2008
Bob Seger and the Silver Bullet Band
Puisque j'ai parlé de Bob Seger dans le message précédent j'ai trouvé deux vidéos assez marrantes sur le bonhomme. Ce sont en fait deux déclinaisons de son morceau "Old time Rock & Roll" (que J.Halliday a repris). La première vidéo est le un assemblage d'une prestation Live de Bob Seger et d'extraits du film Risky Buisiness. Ça fleure bon les années 80 !
Et la seconde vidéo est un extrait de notre ami ALF ! Décidément ce sent fort les 80's :
Et la seconde vidéo est un extrait de notre ami ALF ! Décidément ce sent fort les 80's :
La chanson du jour - 40 -
La capsule du jour : Ike & Tina Turner - Nutbush City Limits.
Le Contexte :
Aujourd'hui un morceau de 1973 du très bon duo musical Ike & Tina Turner. Mari et femme à la ville depuis 1960, Ils enregistrent nombre de tubes dans les années 60. En 1973 sort l'album "Nutbush City Limits"qui comporte l'excellent titre éponyme (sic) qui nous intéresse aujourd'hui.
Le morceau :
La morceau évoque la vie dans la ville de Nutbush dans le Tennesse d'où est originaire Tina et qui la quittera pour mener sa carrière de chanteuse. Ce sera le dernier très gros succès de la carrière du duo qui se sépare en 1977. Le morceau sera repris dans une version tout aussi explosive par Bob Seger and the Silver Bullett Band. Groupe méconnu à découvrir !
L'artiste :
Le duo comme nous l'avons dit connaîtra de nombreux succès. L'association de ces deux talents est d'une efficacité implacable. La voix et le jeu de scène de Tina lié au génie musical de son guitariste de mari font mouche à tous les coups. Le répertoire du groupe est composé de nombreuses reprises, comme Proud Mary de CCR ou encore Come together des Beatles, ainsi que de compositions originales comme River Deep Mountain High ou de Sexy Ida. Le couple se sépare à la ville comme à la scène en 1977. Tina et Ike se bagarreront par avocat interposé jusqu'en 1993. Ike sera mis en prison pour les mauvais traitements infligés à son épouse durant leur mariage. Ike Turner meurt en 2007 des suites d'une longue maladie.
L'anecdote :
En 1951, Ike Turner compose le titre Rocket 88 qui est considéré comme le premier Rock & Roll de l'histoire. Etonnant, non ?
Aujourd'hui un morceau de 1973 du très bon duo musical Ike & Tina Turner. Mari et femme à la ville depuis 1960, Ils enregistrent nombre de tubes dans les années 60. En 1973 sort l'album "Nutbush City Limits"qui comporte l'excellent titre éponyme (sic) qui nous intéresse aujourd'hui.
Le morceau :
La morceau évoque la vie dans la ville de Nutbush dans le Tennesse d'où est originaire Tina et qui la quittera pour mener sa carrière de chanteuse. Ce sera le dernier très gros succès de la carrière du duo qui se sépare en 1977. Le morceau sera repris dans une version tout aussi explosive par Bob Seger and the Silver Bullett Band. Groupe méconnu à découvrir !
L'artiste :
Le duo comme nous l'avons dit connaîtra de nombreux succès. L'association de ces deux talents est d'une efficacité implacable. La voix et le jeu de scène de Tina lié au génie musical de son guitariste de mari font mouche à tous les coups. Le répertoire du groupe est composé de nombreuses reprises, comme Proud Mary de CCR ou encore Come together des Beatles, ainsi que de compositions originales comme River Deep Mountain High ou de Sexy Ida. Le couple se sépare à la ville comme à la scène en 1977. Tina et Ike se bagarreront par avocat interposé jusqu'en 1993. Ike sera mis en prison pour les mauvais traitements infligés à son épouse durant leur mariage. Ike Turner meurt en 2007 des suites d'une longue maladie.
L'anecdote :
En 1951, Ike Turner compose le titre Rocket 88 qui est considéré comme le premier Rock & Roll de l'histoire. Etonnant, non ?
One string Willie
Après les guitaristes virtuoses à deux manches ou sept cordes voici : ONE STRING WILLIE qui joue de la guitare avec une corde. Ce qui n'empêche pas une certaine virtuosité !
Impressionnant non ?
Impressionnant non ?
mercredi 12 mars 2008
La chanson du jour - 39 -
La capsule du jour : Sly and the Family Stone - Dance to the music.
Le Contexte :
Aujourd'hui un morceau de 1968 du fabuleux groupe de Funk-Soul-Rock psyché Sly & the Family Stone. Le groupe a pour leader le producteur, chanteur et multi-instrumentiste Sly Stone qui joue avec des membres de sa famille. La carrière de la formation commence en 1967. L'année suivante, ils éditent leur second album "Dance to the Music" qui comporte l'excellent titre éponyme qui nous intéresse aujourd'hui.
Le morceau :
C'est un des premiers titres de soul psyché de l'histoire. Il aura une influence sur le futur style musical FUNK. Ce sera un immense succés et le groupe le jouera sur la scène du festival de Woodstock en Aout 1969.
L'artiste :
Dèrriere des morceaux extremement dansant, les paroles des morceaux sont très politiques. En effet, ils prônent la paix, l'amour et réclament l'égalité des droits civiques pour les noirs. La formation va sortir huit albums jusqu'a sa séparation en en 1974. Avant que Sly Stone ne mène sa carrière solo.
L'anecdote :
Sly and the Family Stone est considéré comme le premier groupe multiracial de l'histoire du rock Etonnant, non ?
mardi 11 mars 2008
La chanson du jour - 38 -
La capsule du jour : Stevie Wonder - Sir Duke.
Le Contexte :
Aujourd'hui un morceau de 1976 d'un autre monument du genre Stevie Wonder. Il enregistre en cette divine année 76 son meilleur album "Songs in the key of life". L'album comporte le fantastique "Sir Duke" qui nous intéresse aujourd'hui.
Le morceau :
Le morceau est une fusion du funk, Rhytm n' blues et Jazz et un magnifique hommage à Duke Ellington.
L'artiste :
Stevie Wonder est un génie musical absolu !!!
L'anecdote :
Le double album "Songs in the key of life" ne sortira sous sa forme double que sur l'insistance de Wonder qui parviendra à convaincre son producteur. Bien lui en a pris, ce sera un triomphe. Etonnant, non ?
Aujourd'hui un morceau de 1976 d'un autre monument du genre Stevie Wonder. Il enregistre en cette divine année 76 son meilleur album "Songs in the key of life". L'album comporte le fantastique "Sir Duke" qui nous intéresse aujourd'hui.
Le morceau :
Le morceau est une fusion du funk, Rhytm n' blues et Jazz et un magnifique hommage à Duke Ellington.
L'artiste :
Stevie Wonder est un génie musical absolu !!!
L'anecdote :
Le double album "Songs in the key of life" ne sortira sous sa forme double que sur l'insistance de Wonder qui parviendra à convaincre son producteur. Bien lui en a pris, ce sera un triomphe. Etonnant, non ?
La chanson du jour - 37 -
La capsule du jour : Isaac Hayes - Theme from Shaft.
Le Contexte :
Aujourd'hui un morceau de 1971 de l'instrumentiste et compositeur de la firme Stax. Cette année là il enregistre pour la musique du film Blaxploitation Shaft une bande son très funky qui comporte ce "Theme From Shaft" qui nous intéresse aujourd'hui.
Le morceau :
Un grand morceau funk qui aura une grande influence sur le "Papa was a Rolling Stone" des Temptations en 1974
L'artiste :
Isaac Hayes est trompettiste de formation, il compose de nombreux titres dans les années 60 pour la firme Stax et se lance dans une carrière solo en 1971 avec la bande son de Shaft. A partir de la fin des années 70 il se lance dans une carrière d'acteur.
L'anecdote :
Isaac Hayes jouera en 1979 dans l'excellent film New York 1997 de John Carpenter. Il y tient le rôle du Duc de New York. Etonnant, non ?
Aujourd'hui un morceau de 1971 de l'instrumentiste et compositeur de la firme Stax. Cette année là il enregistre pour la musique du film Blaxploitation Shaft une bande son très funky qui comporte ce "Theme From Shaft" qui nous intéresse aujourd'hui.
Le morceau :
Un grand morceau funk qui aura une grande influence sur le "Papa was a Rolling Stone" des Temptations en 1974
L'artiste :
Isaac Hayes est trompettiste de formation, il compose de nombreux titres dans les années 60 pour la firme Stax et se lance dans une carrière solo en 1971 avec la bande son de Shaft. A partir de la fin des années 70 il se lance dans une carrière d'acteur.
L'anecdote :
Isaac Hayes jouera en 1979 dans l'excellent film New York 1997 de John Carpenter. Il y tient le rôle du Duc de New York. Etonnant, non ?
vendredi 7 mars 2008
La chanson du jour - 36 -
La capsule du jour : James Brown - The Boss.
Le Contexte :
Aujourd'hui un morceau de 1974 du grand monument du genre, le magnifique James Brown. Pionnier du rhytm'n blues, Fondateur du funk, notre homme est un génie absolu qui exerce un influence durable sur la scène musicale actuelle. En 1974, il enregistre le typique de son style "The Boss" qui nous intéresse aujourd'hui.
Le morceau :
Le morceau est typique du style de James Brown à l'époque. Ses titres de ces années là sont une somme des innovations des 20 années précédentes. Le morceau apparait sur le Bande originale du film Black Caesar.
L'artiste :
Né en 1933, sa carrière de musicien débute alors qu'il n'a que 19 ans. Il connait un premier gros succès avec Please Please Please me en 1956. Il assoit sa renommée internationale en 1965 avec "Papa's got a brand new bag" et "I feel Good". Notre homme enchaine les succès dans cette deuxième moitié des années 60. Fait rare chez les chanteurs de soul, il saura bien négocier le virage des années 70. Impliqué dans le lutte pour les droits civiques il connaîtra de nombreux déboires avec le justice. On peut pointer dans sa carrière le grandissime "Live at the Apollo" de 1963 qui est un témoignage scénique saisissant de son style. Monument incontournable, il continue d'influencer la musique actuelle.
L'anecdote :
James Brown est sans doute le chanteur qui s'est vu affublé le plus de surnoms : Soul Brother Number One, Sex Machine, Mr. Dynamite, The Hardest Working Man in Show Business, Minister of The New New Super Heavy Funk, Mr. Please Please Please, The Boss, ou le plus connu Godfather of Soul . Etonnant, non ?
Aujourd'hui un morceau de 1974 du grand monument du genre, le magnifique James Brown. Pionnier du rhytm'n blues, Fondateur du funk, notre homme est un génie absolu qui exerce un influence durable sur la scène musicale actuelle. En 1974, il enregistre le typique de son style "The Boss" qui nous intéresse aujourd'hui.
Le morceau :
Le morceau est typique du style de James Brown à l'époque. Ses titres de ces années là sont une somme des innovations des 20 années précédentes. Le morceau apparait sur le Bande originale du film Black Caesar.
L'artiste :
Né en 1933, sa carrière de musicien débute alors qu'il n'a que 19 ans. Il connait un premier gros succès avec Please Please Please me en 1956. Il assoit sa renommée internationale en 1965 avec "Papa's got a brand new bag" et "I feel Good". Notre homme enchaine les succès dans cette deuxième moitié des années 60. Fait rare chez les chanteurs de soul, il saura bien négocier le virage des années 70. Impliqué dans le lutte pour les droits civiques il connaîtra de nombreux déboires avec le justice. On peut pointer dans sa carrière le grandissime "Live at the Apollo" de 1963 qui est un témoignage scénique saisissant de son style. Monument incontournable, il continue d'influencer la musique actuelle.
L'anecdote :
James Brown est sans doute le chanteur qui s'est vu affublé le plus de surnoms : Soul Brother Number One, Sex Machine, Mr. Dynamite, The Hardest Working Man in Show Business, Minister of The New New Super Heavy Funk, Mr. Please Please Please, The Boss, ou le plus connu Godfather of Soul . Etonnant, non ?
jeudi 6 mars 2008
La chanson du jour - 35 -
La capsule du jour : Wilson Pickett - Land of 1000 dances
Le contexte :
Le contexte :
Aujourd'hui un morceau de 1966 d'un autre pionnier de la soul Wilson Pickett. Il commence sa carrière en tant que chanteur de Gospel avant de signer chez Atlantic en 1955 puis sur le légendaire label Stax en 1965. Il obtient quelques gros succès tel que ce "Land of 1000 Dances" qui nous intéresse aujourd'hui.
Le morceau :
Comme beaucoup de morceaux de Wilson Pickett, le titre sera enregistré en 1966 dans un ancien entrepôt à tabac transformé en studio. Par superstition, il ne voudra pas enregistrer dans un autre endroit pendant quelques années. Les paroles du morceau évoquent les nombreuses danses en vogue comme le jerk, le mashed patato ou encore le twist. Ce ne sont donc pas 1000 danses qui sont cités mais seulement 16. Le titre sera repris par Sam & Dave, Patti Smith ou encore Bill Haley & the Comets.
L'artiste :
A l'instar d'un Sam Cooke, Wilson Pickett est un pionnier de la musique Soul et du Rhytm n' Blues. Notre homme laissera quelques hits indémodables entre 1964 et 1969 comme "Mustang Sally", "In the midnight hour" ou même "Everybody needs somebody to love". Comme beaucoup, il aura du mal à négocier le virage de 1970 et obtiendra cependant quelques succès d'estime. Notre homme collaborera avec B.B.King, Bobby Womack, Isaac Hayes etc... Il obtiendra la reconnaissance du grand public en 1988 en obtenant plusieurs récompenses pour l'ensemble de sa carrière. Il meurt en 2006 à l'age de 65 ans.
L'anecdote :
Pour finir , deux citations la première d'Aretha Franklin : « Ami de Detroit, Wilson Pickett était l'un des plus grands chanteurs de Soul ». Et le seconde de Wilson Pickett lui même : « Si je n'avais pas été dans le show-business, je crois que j'aurais été vagabond ou quelque chose comme ça ». Etonnant, non ?
Le morceau :
Comme beaucoup de morceaux de Wilson Pickett, le titre sera enregistré en 1966 dans un ancien entrepôt à tabac transformé en studio. Par superstition, il ne voudra pas enregistrer dans un autre endroit pendant quelques années. Les paroles du morceau évoquent les nombreuses danses en vogue comme le jerk, le mashed patato ou encore le twist. Ce ne sont donc pas 1000 danses qui sont cités mais seulement 16. Le titre sera repris par Sam & Dave, Patti Smith ou encore Bill Haley & the Comets.
L'artiste :
A l'instar d'un Sam Cooke, Wilson Pickett est un pionnier de la musique Soul et du Rhytm n' Blues. Notre homme laissera quelques hits indémodables entre 1964 et 1969 comme "Mustang Sally", "In the midnight hour" ou même "Everybody needs somebody to love". Comme beaucoup, il aura du mal à négocier le virage de 1970 et obtiendra cependant quelques succès d'estime. Notre homme collaborera avec B.B.King, Bobby Womack, Isaac Hayes etc... Il obtiendra la reconnaissance du grand public en 1988 en obtenant plusieurs récompenses pour l'ensemble de sa carrière. Il meurt en 2006 à l'age de 65 ans.
L'anecdote :
Pour finir , deux citations la première d'Aretha Franklin : « Ami de Detroit, Wilson Pickett était l'un des plus grands chanteurs de Soul ». Et le seconde de Wilson Pickett lui même : « Si je n'avais pas été dans le show-business, je crois que j'aurais été vagabond ou quelque chose comme ça ». Etonnant, non ?
mercredi 5 mars 2008
La chanson du jour - 34 -
La chanson du jour : Sam Cooke - Wonderful World
Le contexte :
Aujourd'hui un titre de 1960 du pionnier Sam Cooke. Un fondateur du genre qui débute par le gospel pour glisser vers la soul. A l'instar de Ray Charles, il va jeter, durant sa courte carrière, les bases du genre. Et décrocher de nombreux succès notamment en 1960 avec ce "Wonderful World" qui nous intéresse aujourd'hui.
Le morceau :
Le titre est un des sommets de la carrière de Sam Cooke. Le morceau est une déclaration d'amour : "Je ne sais pas grand chose de l'histoire, mais je sais que si tu m'aimes et que je t'aime, quel monde merveilleux ce sera". Un peu naif mais bougrement efficace. Ceci grâce à la voix de Sam Cooke qui allie la puissance à la délicatesse et la finesse. A coup sûr, notre homme aurait pu donner des frissons en chantant le bottin ! Le titre fera l'objet de plusieurs reprises dont les plus notables sont celles d'Art Garfunkel et de Hermann's Hermits.
L'artiste :
Sam Cooke est une des première grande star noir-américaine de l'histoire. Son début de carrière se heurte à la segmentation de la société américaine. Qui rappelons le dans les années 50 n'avait rien à envier à l'apartheid sud-africaine. En effet, Sam Cooke réussira à briser les lignes entre la musique pop ou country des blancs et le Blues, le Jazz ou la Soul naissante faite pour le public noir. Dans sa carrière, on peut citer : "Summertime", " You Send me" ou encore "A change is gonna come". Sans conteste, Sam Cooke aura exercé un influence profonde sur des artistes comme Aretha Franklin, Otis Redding ou les Temptations.
L'anecdote :
Sam Cooke est mystèrieusement retrouvé mort le 11 décembre 1964 dans un motel californien. L'enquête des autorités, impliquant la propriétaire de l'établissement et une prostituée, a officiellement abouti à la conclusion d'un meurtre excusé par la légitime défense. Le chanteur, furieux de la disparition de sa compagne d'un soir, aurait effrayé et violenté la responsable du motel à un point qu'elle fut excusée d'avoir usé de son arme à feu pour se protéger. Dramatique, non ?
Aujourd'hui un titre de 1960 du pionnier Sam Cooke. Un fondateur du genre qui débute par le gospel pour glisser vers la soul. A l'instar de Ray Charles, il va jeter, durant sa courte carrière, les bases du genre. Et décrocher de nombreux succès notamment en 1960 avec ce "Wonderful World" qui nous intéresse aujourd'hui.
Le morceau :
Le titre est un des sommets de la carrière de Sam Cooke. Le morceau est une déclaration d'amour : "Je ne sais pas grand chose de l'histoire, mais je sais que si tu m'aimes et que je t'aime, quel monde merveilleux ce sera". Un peu naif mais bougrement efficace. Ceci grâce à la voix de Sam Cooke qui allie la puissance à la délicatesse et la finesse. A coup sûr, notre homme aurait pu donner des frissons en chantant le bottin ! Le titre fera l'objet de plusieurs reprises dont les plus notables sont celles d'Art Garfunkel et de Hermann's Hermits.
L'artiste :
Sam Cooke est une des première grande star noir-américaine de l'histoire. Son début de carrière se heurte à la segmentation de la société américaine. Qui rappelons le dans les années 50 n'avait rien à envier à l'apartheid sud-africaine. En effet, Sam Cooke réussira à briser les lignes entre la musique pop ou country des blancs et le Blues, le Jazz ou la Soul naissante faite pour le public noir. Dans sa carrière, on peut citer : "Summertime", " You Send me" ou encore "A change is gonna come". Sans conteste, Sam Cooke aura exercé un influence profonde sur des artistes comme Aretha Franklin, Otis Redding ou les Temptations.
L'anecdote :
Sam Cooke est mystèrieusement retrouvé mort le 11 décembre 1964 dans un motel californien. L'enquête des autorités, impliquant la propriétaire de l'établissement et une prostituée, a officiellement abouti à la conclusion d'un meurtre excusé par la légitime défense. Le chanteur, furieux de la disparition de sa compagne d'un soir, aurait effrayé et violenté la responsable du motel à un point qu'elle fut excusée d'avoir usé de son arme à feu pour se protéger. Dramatique, non ?
lundi 3 mars 2008
La chanson du jour - 33 -
La capsule du jour : Ray Charles - Hit the road, Jack.
Le Contexte :
Aujourd'hui un titre archi-connu datant de 1961 du "Genious" alias Ray Charles. Véritable précurseur dans le domaine musicale. Il commence sa carrière pro en 1949 à 19 ans. Sa réputation grandit et il connaît un premier immense succès avec "What I'd say" en 1959. Il pose ainsi les bases de ce que sera le Rhytm n' Blues en tant que fusion du Jazz, du gospel et du swing. Deux ans plus tard, il récidive avec le formidable "Hit the road, Jack" qui nous intéresse aujourd'hui.
Le morceau :
Classique parmi les classiques, le titre fera l'effet d'une bombe à sa sortie. Le titre restera n°1 du Billboard aux USA durant deux semaines. Sur un texte écrit par Percy Mayfield, Ray Charles brode un walking entraînant qui groove un maximum. Le morceau sera repris de nombreuses fois, notamment un version reggae.
L'artiste :
Ray Charles est un monument de la musique populaire du 20e siècle. Ayant su se renouveler sans jamais s'enfermer dans un style. Il a abordé tous les genres de la culture musicale populaire américaine. Venu à la musique par le Jazz, il a chanté le blues comme personne, a contribué à l'émergence du Rhytm n'blues et même sorti un album de country. Un éclectisme rare. Il a laissé un foule de standard dont "Mess Around", "I got a woman", "Unchain my heart ", "I love her so" ou "Georgia on my mind". Après 58 ans de carrière, Ray Charles est mort le 10 juin 2004 à l'age de 74 ans.
L'anecdote :
Ray Charles avait en plus d'un talent exceptionnel, un humour très incisif. Répondant à un journaliste qui l'interrogeait sur sa cécité, il répondit : "Je suis aveugle, mais on trouve toujours plus malheureux que soi... J'aurais pu être noir." Etonnant, non ?
Le Contexte :
Aujourd'hui un titre archi-connu datant de 1961 du "Genious" alias Ray Charles. Véritable précurseur dans le domaine musicale. Il commence sa carrière pro en 1949 à 19 ans. Sa réputation grandit et il connaît un premier immense succès avec "What I'd say" en 1959. Il pose ainsi les bases de ce que sera le Rhytm n' Blues en tant que fusion du Jazz, du gospel et du swing. Deux ans plus tard, il récidive avec le formidable "Hit the road, Jack" qui nous intéresse aujourd'hui.
Le morceau :
Classique parmi les classiques, le titre fera l'effet d'une bombe à sa sortie. Le titre restera n°1 du Billboard aux USA durant deux semaines. Sur un texte écrit par Percy Mayfield, Ray Charles brode un walking entraînant qui groove un maximum. Le morceau sera repris de nombreuses fois, notamment un version reggae.
L'artiste :
Ray Charles est un monument de la musique populaire du 20e siècle. Ayant su se renouveler sans jamais s'enfermer dans un style. Il a abordé tous les genres de la culture musicale populaire américaine. Venu à la musique par le Jazz, il a chanté le blues comme personne, a contribué à l'émergence du Rhytm n'blues et même sorti un album de country. Un éclectisme rare. Il a laissé un foule de standard dont "Mess Around", "I got a woman", "Unchain my heart ", "I love her so" ou "Georgia on my mind". Après 58 ans de carrière, Ray Charles est mort le 10 juin 2004 à l'age de 74 ans.
L'anecdote :
Ray Charles avait en plus d'un talent exceptionnel, un humour très incisif. Répondant à un journaliste qui l'interrogeait sur sa cécité, il répondit : "Je suis aveugle, mais on trouve toujours plus malheureux que soi... J'aurais pu être noir." Etonnant, non ?
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