jeudi 1 mars 2012

Kubrick + Pink Floyd

Pour les amateurs de Kubrick et du Floyd, cette vidéo présente les 23 dernières minutes de 2001, l'odyssée de l'espace (1968) synchronisées avec le fabuleux morceau Echoes extrait de l'album Meddle (1972).

Devant ces images on rêve à ce qu'aurait pu donner l'association de Kubrick et de Pink Floyd si ces derniers, comme le dit la légende, n'avaient pas refusé de prêter des musiques à Stanley Kubrick pour son film en préparation en 1967.

L'association est étonnante et fonctionne fabuleusement bien à mon sens. C'est en tout cas bien plus crédible que la synchronisation de Dark Side of the moon (1973) du même Pink Floyd avec le magicien d'Oz de Victor Fleming (1939) prétendument voulue par le groupe. A vous de voir.

lundi 21 novembre 2011

Saul Bass

Auteur de génériques de films de Hitchcock, Scorcese, Preminger ou encore Kubrick. Un mix de son travail :

lundi 24 octobre 2011

Chefs d'oeuvre en 1 trait

Pub pour une marque de matériel d'art. Reproduction de chefs d'oeuvre en 1 trait. Ici le jeune fille à la perle de Vermeer. Impressionnant.


Faber Castell from eric yeo on Vimeo.

lundi 28 février 2011

Vu récemment - 6

The Reader (2010)
de Stephen Daldry


Synopsis :
Berlin, 1958. Un adolescent de quinze ans, Mickael Berg a une liaison avec une femme de trente cinq ans, Hannah Shmitz. Après quelques mois, elle disparait. Huit ans plus tard, Mickael poursuit des études de droit. En assistant au procès d’anciennes gardiennes de camp de la mort, Mickael reconnait Hannah sur le banc des accusés.



The Reader est l’adaptation du livre partiellement autobiographique de Bernhard Schlink : Le liseur. Le film sort sur les écrans américains en Déc.08 et en Juil.09 en France. Pour ce rôle, Kate Winslet recevra l’Oscar de la meilleure actrice. Le film est produit par Anthony Minghella et Sydney Pollack qui décéderont tous les deux durant la réalisation du film.

Le film adopte la structure du flashback. Il est construit en trois parties de durée sensiblement équivalente. La première partie expose, la rencontre de Mickael et Hannah et leur relation. Dans la seconde partie, est montrée la vie de Mickael adolescent étudiant en droit et le procès d’Hannah. Dans la dernière partie, nous voyons la relation qu’entretiennent Mickael devenu avocat et Hannah en prison.

Le rituel de lecture que Mickael fait à Hannah avant l’amour est d’abord montré dans la relation comme un acte d’épanouissement spirituel avant l’acte charnel. Lors du procès, ce rituel prend un tout autre sens. Car c’est au même rituel que Hannah s’adonnait avec des prisonniers des camps condamnés à la mort. Mickael a participé à son corps défendant à la transposition de cette cérémonie macabre. L’exposition que Daldry fait de cette révélation est d’une grande sobriété qui rend ce renversement d’interprétation vertigineux pour le spectateur. Dans cette première partie du film, nous avons cru assister à un rapprochement entre les deux êtres. Or, ceci montre le peu de remords et de culpabilité que ressent Hannah et ne participe qu’à cacher le secret d’Hannah.

Ce secret (Hannah ne sait ni lire, ni écrire) semble bien dérisoire au regard des actes qu’elle a pu commettre pendant la guerre. La réalisation sobre jusqu’alors paraît même excessive au moment de la révélation. Un effet de ralenti et des violons qui grincent sensés nous glacer le sang. Ceci ne cadre vraiment pas avec le ton du film. En somme, l’effet est bien trop hollywoodien pour apparaitre réellement crédible. De même, lorsque Mickael se rends à Auschwitz, la musique induit un suspense alors qu’il traverse les bâtiments. Là encore, l’effet est gratuit et la scène aurait nécessité un tout autre habillage. Une autre scène dérangeante est celle où Mickael est prêt à aller voir Hannah à la fin de son procès. De la neige tombe sur la cour de la prison rappelant la neige tombant sur Berlin au moment de la rencontre de Hannah et Mickael. Celui-ci est propulsé devant son innocence perdue. Il y aurait eu des moyens bien plus légers de nous le faire comprendre.

Le film interroge la conscience allemande d’après-guerre. Comment la jeunesse allemande d’après guerre assume l’héritage des atrocités nazies. Comment vivre avec le poids de la culpabilité ? Le personnage de Kate Winslet est lancé dans les événements de l’histoire avec une immense naïveté et semble même ne pas réaliser la gravité des ses actes. Le président du tribunal l’interroge sur son engagement dans les jeunesses Hitlériennes, elle demande : « Qu’auriez vous fait à ma place ? ». Le film dans ces scènes de procès pose la question de la banalité du mal. Beaucoup de criminels de guerre n’étaient pas des monstres sociopathes mais des gens ordinaires pris dans le système de l’industrialisation de la mort. Cela les amende t’il ? Certes NON !

Par la suite en ne révélant pas ce secret, Mickael inflige à Hannah une punition personnelle et un châtiment au nom de l’histoire. A la fois, pour sa disparition soudaine mettant fin à leur relation et surtout pour son implication dans les crimes de guerre nazis.

jeudi 3 février 2011

Vu récemment - 5

The Social Network
de David Fincher
(2010)

Synopsis : 2003, Harvard. Mark Zuckerberg, génie de la programmation informatique est étudiant de premier cycle. Après avoir rompu avec sa petite amie, il travaille sur la création d'un site de notation des filles de l'université. Repéré par trois étudiants de second cycle, ils lui demandent de plancher sur un site de réseau social.


Le film est l'adaptation du roman de Ben Mezrich qui décrit la création du site Facebook. Avant la sortie de The Social Network, David Fincher vient de réaliser L'étrange histoire de Benjamin Button. Il est également réalisateur de Alien 3, Seven, The Game, Fight Club, Panic Room, Zodiac. Le film a reçu 4 récompenses lors de la dernière cérémonie des Golden Globes dont meilleur film dramatique, meilleur scénario et meilleur réalisateur. On retrouve à la production exécutive du film l’acteur Kevin Spacey.

Comme cela a souvent été dit lors de sa sortie, le film n'est pas la description de l'histoire du dernier site à la mode, c'est en réalité une véritable tragédie. Amitié, trahison, vengeance, honneur bafoué sont les éléments principaux de ce film. Les deux auditions auquel Mark Zuckerberg est assigné pour vol de propriété intellectuelle servent de fil rouge à l’histoire. Ces scènes d’audition sont entrecoupées par des flashbacks décrivant les circonstances qui ont mené Zuckerberg à devenir le plus jeune milliardaire du monde. Cette construction nous mets en situation d'attendre la chute du personnage principal. Ceci est d’ailleurs le paradoxe du film, le site est une fabuleuse réussite mais Zuckerberg est un homme seul qui a trahi ses pairs et qui s’est compromis. C’est une belle illustration des propos de Balzac, selon lesquels : « Toute fortune est basée sur une malhonnêteté ».

La rupture de Zuckerberg avec sa petite amie est présentée comme la blessure originelle, le catalyseur de toutes les actions qu’il entreprendra ensuite. Comme nous l’avons dit, il est décrit durant les scènes d'audition comme un homme seul et honni de tous. La secrétaire du procureur lui dit à la fin du film : "M.Zuckerberg vous n'êtes pas un salaud mais vous faites tout pour le devenir". Cet aspect apparait d’ailleurs comme étant le point faible du film : aucun des personnages n'est réellement sympathique. Il en découle un certain malaise devant les combats de ces jeunes gens. Certains comme Zuckerberg et Parker sont des pantins qui ont une revanche à prendre sur la vie, d’autres comme les jumeaux Winklevoss sont des aristocrates qui sont coincés par le poids des conventions sociales hérité de leur éducation.

L'interprétation est admirable. On retrouve avec plaisir Jesse Eisenberg (vu dans le savoureux "Bienvenue à Zombieland") qui campe un Zuckerberg proche de la schizophrénie. Andrew Garfield incarne un Eduardo Savrin qui est le seul personnage intègre, naïf et paraissant dépassé par les événements. Justin Timberlake est l’interprète étonnant de Sean Parker (créateur de Napster) et fait de son personnage un revanchard hostile à l’ordre établi, une sorte de salaud calculateur assumé.

Fincher utilise la musique de façon grandiose à l’instar de ce que pouvait faire Stanley Kubrick. La musique n’est pas ici un simple ornement mais accompagne l’action, la souligne. A cet égard, la meilleure scène du film, d’un point de vue strictement cinématographique (cadre, montage, composition) est celle de la course d'aviron sur la musique d’Edvard Grieg extraite de Peer Gynt "Dans l'antre du roi de la montagne". Tout comme Kurick a pu le faire dans Orange Mécanique, la musique de Grieg est ici désincarné, mécanique, comme pouvait l'être la 9eme symphonie de Beethoven retravaillé par Walter Carlos dans Clockwork Orange. La course est un grand moment où l’action traduit les conflits intérieurs des personnages. Les jumeaux Winklevoss perdent la course comme ils ont perdu la paternité du site.

La fin de The Social Network montre le personnage de Mark Zuckerberg coupé de ses amis devant son ordinateur envoyant une demande à son ex-petite amie, celle par qui tous s’est enclenché. Les cartons expliquant la trajectoire des différents personnages sont d’une grande ironie. Derrière ces faits froids et bruts est soulignée la profonde ironie de la situation. Tous les personnages ont perdu quelque chose que l’argent ne saura combler. Le film nous pose finalement la question : « Enviez-vous ces personnages ? »

lundi 31 janvier 2011

Test tablette tactile Folio 100

Depuis Noël je suis l'heureux possesseur d'une tablette tactile Folio 100 de la marque Toshiba. Merci papa noël ! Je vais donc tenter de me lancer dans une revue de ce petit appareil qui à l'instar des autres tablettes changera certainement nos "habitudes numériques".


J'ai assez vite été séduit par le format à emporter partout de l'objet. Mais lors de mes premières utilisation, j'avoue avoir été déçu. Après quelques recherches, je suis tombé sur deux sites :
http://www.frandroid.com/
http://forum.xda-developers.com/

J'ai appris l'existence d'un Mod alternatif que j'ai immédiatement installé : FolioMod 1.3c.
J'ai également changé le lanceur de programme d'origine "Toshiba Home Menu" pour passer sur "Launcher Pro Plus".

Voici une petite vidéo de la bête en action :


Un autre site particulièrement bien fait et dont le webmaster est très sympa :
www.monfolio100.fr

vendredi 28 janvier 2011

Android

L’avènement d’ANDROID (système d’exploitation pour téléphone portables et tablettes tactiles) à été l’un des événements technologiques majeurs de l’année 2010. Retour sur ce phénomène…

¤ Il était une fois …

Notre histoire commence en 2005 avec le rachat par Google d’une start-up informatique qui développe des applications mobiles pour téléphone portable. Suite à la sortie de l’iPhone d’Apple en Juin 2007, le projet resté plusieurs mois dans les cartons est réactivé.
Les équipes de Google ont pour objectif de sortir un système d’exploitation complet capable de concurrencer Apple. La version 1.0 d’Android sort en Septembre 2008. Android a un logo très sympa qui s’appelle le Bugdroid.

¤ Une histoire de gâteaux …

A partir de la version 1.5, les versions d’Android ont toutes des noms de pâtisserie qui suivent l’ordre alphabétique :

¤ Avr.09 : V.1.5 - Cupcake
¤ Sept.09 : V.1.6 – Donut
¤ Jan.10 : V.2.1 - Eclair
¤ Mai.10 : V.2.2 - FroYo (Frozen Yogourt)
¤ Déc.10 : V.2.3 – Gingerbread
¤ ???.11 : V.3.0 - Honeycomb (Gâteau de Miel)
¤ ???.?? : V.?.? - Ice Cream Sandwich

Toutes les nouvelles versions d’android sont annoncées par l’installation d’une statue de pâtisserie sur les pelouses du siège social de Google : le Googleplex

Les pelouses du Googleplex

¤ Un cabas virtuel …

Le système est open-source c'est-à-dire que les constructeurs qui l’implémentent dans leurs appareils peuvent librement en modifier l’environnement et l’aspect. Dans ce sens, Google a mis à disposition un outil de création d’application. Ainsi de très nombreux développeurs créent des programmes gratuits ou payants. Dans ce dernier cas, 70% est versé au créateur de l’application, 30% revenant à Google.
Ces applications sont téléchargeables dans le magasin officiel d’Android : l’Android Market. Lancé le 22 Oct.08, il regroupe plus de 10 000 programmes. Une autre donnée intéressante, 57% des applications sont gratuites contre 28% sur l’App Store d’Apple.

¤ Un nouveau marché …

En Avr.10, l’Ipad d’Apple sort, il s’en vendra 3 millions d’unités dans le monde en moins de 3 mois. Voulant concurrencer Apple, ce sont de nouveaux usages pour les utilisateurs et de nouveaux marchés qui s’ouvrent pour Android, celui des tablettes tactiles.
Le marché dans les mois à venir sera lucratif puisque dans un des plus grands salons de l’électronique grand public, le CES (Consumer Electronic Show) de Las Vegas qui a fermé ses portes il y a quelques jours, a vu la présentation de près d’une soixantaine de tablettes tactiles.

¤ Toshiba entre en scène …

En Sept.10, Toshiba dégaine son propre modèle de tablette tactile le FOLIO 100 qui tourne sous Android Froyo. Le modèle propose un écran de 10 pouces, une webcam, une sortie HDMI pour envoyer les images du Folio vers un téléviseur. Avec une mémoire vive de 512 Mo et un processeur cadencé à 1 GHz, l’appareil est un monstre de puissance.
Ce dernier a regroupé autour de lui une communauté très active de bidouilleurs sur internet qui tirent le meilleur de l’appareil. Au CES de Janvier, Toshiba a présenté la version 2 du FOLIO.

¤ Les meilleurs applis …

Petit florilège des meilleures applications d’après l’auteur … que vous pourrez trouver sur l’Android Market dans des versions gratuites.

• Multimédia :
Rock Player – Lecteur vidéo prenant en charge de nombreux formats vidéo ainsi que les sous-titres. Simple, léger et rapide.

• Internet :
Dolphin Browser HD – Le navigateur internet ultime proposant la navigation par onglet et une gestion des favoris facilitée. Vous pouvez de plus charger des thèmes pour embellir le navigateur.

• Jeux :
Angry Bird – Véritable phénomène de l’année 2010 avec plus de 50 millions de téléchargements. Dans ce jeu, vous devez lancer des oiseaux (en colère) sur des constructions et détruire des petits bonshommes verts. Un jeu très addictif.

Alchemy – En combinant les 4 éléments primaires : eau, air, terre et feu vous pourrez créer 360 autres éléments aussi divers que la vie, des zombies ou les Beatles.

• Utilitaires :
Aldiko – Alternative crédible à l’achat d’une liseuse électronique. Proposant des centaines de livres gratuits tombés dans le domaine public. Vous pourrez retrouver Zola, Maupassant, Proust, Conan Doyle, H.G.Wells et bien d’autres sur votre appareil.

Quick Settings – Cette application regroupe sur un même panneau tous les paramètres de votre terminal Android. Réglage de la luminosité, marche/arrêt du Wi-fi et du Bluetooth. Bien pratique.

Quick shutdown - Cette application permet comme son nom l’indique d’éteindre en un seul mouvement votre téléphone ou tablette. Une application qui évite des manipulations.

¤ Ressources sur Internet :

Xda-developers.com – Site en anglais. Des news et un forum pour les plus bidouilleurs d’entre vous.
Frandroid.fr – Site en français. Le pendant de xda-developers dans la langue de Molière.
Monfolio100.fr – Site français. Entièrement consacré à la tablette de Toshiba.

mardi 11 janvier 2011

La nouvelle version d'Android

Aujourd'hui nous parlons de la toute nouvelle version d'Android baptisé Honeycomb. La vidéo est assez hallucinante car l'OS est optimisé pour les tablettes :



Ceci est une introduction aux prochains articles qui concerneront l'OS Android ainsi qu'un test de la tablette de Toshiba Folio 100 (Merci papa noël).

lundi 22 novembre 2010

Vu récemment - 4

Police Python 357
Alain Corneau
(1976)


Synopsis : Orléans, Armé de son revolver Colt Python 357, l'inspecteur Marc Ferrot, policier célibataire aux méthodes peu orthodoxes et excellent tireur procède seul à l'arrestation de deux malfrats qui viennent de cambrioler une église. Une jeune photographe italienne aventureuse, Sylvia Leopardi est là par hasard et immortalise la scène.


Ce film admirable est le premier des trois films qu'Yves Montand tournera avec un réalisateur de 33 ans : Alain Corneau. Ces trois films (Police Python, La menace, Le choix des armes) représentent un renouveau du cinéma de genre policier en France. Nourri de ses influences américaine, Alain Corneau réalise la prouesse d'explorer les thématiques des films noirs américains en les ancrant dans le contexte de la province française de la fin des années 70.

La scène d'ouverture du film (voir la vidéo) est, en plus d'être remarquablement filmé car uniquement cinématographique, une parfaite mise en place du personnage de l'inspecteur Ferrot. En effet, ce personnage nous est uniquement montré au travers d'une série de "gestes techniques" (fabrication de ses balles, préparation d'un repas). Son arme semble être un prolongement de lui-même, il manque une partie à sa personnalité. La rencontre avec la jeune photographe Sylvia Leopardi, sera ce morceau manquant. Il deviendra à son contact non plus un technicien mais un homme de sentiment qu'il semble mal maîtriser. Lorsque Sylvia sera assassinée, Ferrot n'est plus qu'une bête traquée. Les événements de la fin du film se chargeront de remettre en place la situation initiale de l'homme technique qui ne peut accéder au statut d'homme de sentiment et qui en gardera un immense fêlure. Ce drame laissera l'homme brisé. Cette construction se rapproche de celle de la tragédie grecque.

Cette construction n'est pas sans rappeler celle de Série Noire, autre grand film de Corneau. Dans cette acharnement dans le mensonge, cette fuite en avant permanente, le personnage de Marc Ferrot peut être considéré comme un prolongement du Franck Poupart de Série noire. Rôle qu'incarnera génialement Patrick Dewaere. Ces deux personnages sont liés inexorablement à leur destin qui les mènera a leur perte.

Autre point fort du film, son trio d'interprètes principaux. Car nous retrouvons hormis Yves Montand, François Périer semblant dirigé par ses impulsions qui ne sont calmé que par sa femme, Simone Signoret calculatrice, froide et qui tire les ficelles dans la coulisse. Stefania Sandrelli m'a paru un peu en dessous de ce trio en or massif. Quelques longueurs apparentes au début du film, qui ne sont là que pour mettre en place le piège qui se refermera sur l'inspecteur Ferrot.

Alain Corneau nous a quitté le 30 Août en laissant quelques très bons films chers au coeur des cinéphiles. Citons parmi les réussites du monsieur : Fort Saganne, Tous les matins du monde, Le cousin, Stupeurs et tremblements. Il mets en scène son dernier film précédé d'une très bonne réputation : Crime d'amour sorti quelques semaines avant sa disparition.

Pour finir avant d'aller faire un gros dodo, la scène d'ouverture de Série noire :

samedi 20 novembre 2010

Cars 2

Le 24 Janvier prochain sortira aux Etats-Unis, le très attendu CARS 2 réalisé par M.John Lasseter. Pas de date de sortie pour la France ...


Voici un premier trailer dont le niveau technique est absolument extraordinaire :


C'est mon fils qui va être content !

vendredi 19 novembre 2010

Photos en 3D

Des photos qui ont marqué leur époque en 3D :



Les effets 3D ne sont pas tous saisissants mais c'est assez marrant !

jeudi 18 novembre 2010

Le "Kubrick Look"

Le titre "Kubrick Look" n'est sans doute pas très évocateur. Voici l'explication en images :

1971 - Orange Mécanique

Shining - 1983

Full metal Jacket - 1987
Éloquent, non ?